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De la 2ème Guerre Mondiale à nos jours

1945 : La ville de Bamako connait un grand développement grâce aux actions du Lieutenant Gouverneur Louveau qui aboutissent à la plantation massive d’arbres « les caïl-cédras » et à la création des quartiers de Médina-coura, Quinzambougo, N’Tomikorobougou, Hamdallaye, Missira, les trois Badialans et Niomirambougou.

1960 : Eclatement de la Fédération du Mali.

22 septembre 1960 : Proclamation de l’indépendance de la République du Mali. A l’issu de cette proclamation, Bamako devient capitale du Mali.

1962 : Création d’une Monnaie Nationale (le franc malien).

1966 : Chef lieu de la région du Mali, Bamako est dirigée par un Maire élu et assisté d’un Conseil municipal après le passage d’un Gouverneur nommé par Décret. Président du Mali indépendant, Modibo Keïta est de 1956 à 1968 le premier Maire élu de la ville de Bamako.

1978 : Devenue une circonscription administrative de l’Etat par l’Ordonnance n°78-32/CMLN du 18 août 1978 toujours en vigueur, le District de Bamako situé au même niveau que la Région, est une Collectivité décentralisée dotée de la personnalité morale et de l’autonomie financière. Elle est dirigée par un Gouverneur, assisté de deux Adjoints et quarante conseillers du District.

Le District de Bamako divisé en six (06) communes est régi par la Loi 96-025 du Code des Collectivités au Mali qui lui confère un Statut Particulier. L’article trois de cette Loi précise que l’organe exécutif du District de Bamako est composé du Maire et de ses deux Adjoints.

Nonobstant cet organe exécutif, un Gouverneur pour le District de Bamako est nommé par Décret pris en Conseil des Ministres.

Depuis 1999 : Avec l’application des Lois de la décentralisation, des changements importants interviennent tant au niveau de l’organisation que du fonctionnement. Ces changements obligent le District de Bamako à élaborer un programme de développement pour mieux préciser ses interventions (priorités, domaines, missions, etc.) de concert avec les communes qui le composent.

Ces nouvelles Lois l’obligent également à une plus grande transparence dans la définition des domaines, des matières et des niveaux d’intervention des Communes.